Quelle femme n’a jamais eu la flemme de cuisiner le soir ? Ce n’est pas pour rien qu’il existe la livraison de petits plats à domicile ; mais lequel choisir ? Pizza ? Trop gras. MacDo ? Végétarienne… Je passe donc commande chez Sushishop en deux clics sur internet et comme d’habitude, cette commande est inférieure à 20€ (avouons que c’est déjà pas mal, l’addition est bien plus salée que pour une pizza ou un hamburger). Mail de confirmation reçu, ma commande est validée. Parfait !

Le téléphone sonne : c’est le magasin près de chez moi qui refuse de me livrer mes sushis, à moins que je rajoute des produits pour augmenter la facture. Sachant que sur internet le montant minimum indiqué pour la livraison est de 15€ et non pas 20€, je râle. Ce n’est pas pour la somme, c’est une question de principe. Là le type me prend de haut : il refuse d’annuler ma commande ; c’est soit je rajoute, soit je viens la chercher. Pas le temps d’argumenter, il m’a raccroché au nez. Drôle de service clients.

Je rappelle et tombe sur la gérante, très remontée, qui jure qu’elle a tout entendu et que le préparateur ne m’a pas mal parlé. Admettons. Elle nie aussi qu’il m’ait raccroché au nez. Ça pourtant j’en suis certaine. Bref, et donc où en est ma commande ? « Ben elle est annulée » dit-elle, agacée. Ok, tout va bien alors. Mais enfin si je peux me permettre, vous avez pas mal de concurrents dans le secteur, une attitude moins fermée serait la bienvenue. Le clash. Réalise-t-elle seulement qu’elle est en tort ? Imaginez que vous allez acheter un CD stické à 15€ et qu’arrivé à la caisse on vous oblige à le payer 20€, quelle serait votre réaction ? J’ai eu la même.

Voilà donc comment j’ai divorcé d’avec Sushi Shop…  c’est le moment de me donner vos bonnes adresses !

Alexandra…