Portrait chinois

Si j’étais… je serais.

Un défaut : ex aequo l’égoïsme et l’intolérance. Egoïste parce qu’on l’est tous, à un degré plus ou moins élevé. Intolérante parce que je suis intolérante à toutes formes d’intolérance… 😉

Une qualité : l’empathie. Parfois c’est même trop.

Une ville : sans hésitation Paris. N’y voyez aucun « lèche-bottage » avec les événements de ces derniers jours, j’ai toujours été folle de cette ville. Si Paris était dans le sud, j’y habiterais depuis longtemps.

Un animal : j’aurais dit un chat pour son caractère indépendant, mais ma conseillère en reclassement me voyait plutôt comme un panda : gentille mais forte, avec des valeurs en voie d’extinction. Ca n’est que son avis bien sûr.

Une couleur : violet. Mélange de rouge (feu) et de bleu (calme), c’est une teinte à la double personnalité. Il paraît que c’est aussi la couleur de l’intuition, de la méditation, de la création, elle génère réflexion et spiritualité.

Un mot : fantaisie. Dans ma vie, dans mes rêves, dans mon look. J’ai passé l’âge de porter les cheveux roses mais il y a souvent des détails fantaisistes.

Une devise : je dirais même 3. Arrivent ex aequo « Soyons fous » ainsi que « Ne demande pas ton chemin à celui qui le sait, tu pourrais ne pas te perdre » et enfin « L’imagination est plus importante que le savoir. »

Une période de l’année : Noël bien sûr, peut-être parce que j’ai gardé mon âme d’enfant. Des lumières, des cadeaux, mais surtout de bons moments en famille pour clore une année souvent intense dans l’Amour et la Joie. Une période entre parenthèses pendant laquelle on oublie nos soucis et on fonde de grands espoirs pour l’année suivante.

Une chanson : What a wonderful world, de Louis Armstrong. Derrière ce titre à prioris Bisounours il y a un chanteur afro-américain des années ’60, une période pendant laquelle « les chiens étaient mieux traités que les noirs » comme on dit.  Du coup le titre prend un tout autre sens… Je l’aime parce qu’il est terriblement optimiste.

Un roman : L’enchanteresse de Florence, de Salman Rushdie. Auteur décrié sur lequel flotte une fatwa, il livre en 2008 un roman d’aventure initiatique magnifique et très bien écrit.

Une héroïne de cinéma : Sarah Connor. J’ai le souvenir de Linda Hamilton faisant des tractions en débardeur blanc dans Terminator 2. Pré-ado à l’époque je me souviens avoir pensé : « waouh, ça c’est une femme forte. » Vingt ans plus tard j’aime toujours les femmes fortes.

Un élément : l’eau, parce qu’il faut se méfier de l’eau qui dort. Elément indispensable à la vie j’aime autant les rivières que les flocons de neige qui donnent un aspect féerique aux paysages.

Une posture : le point levé. Eternelle contestataire, je ne supporte ni l’injustice, ni l’ignorance ni les préjugés.

Et vous, vous seriez quoi ??