Cette année semble être celle de la consécration pour la ravissante et talentueuse Léa Seydoux, notamment après son passage très remarqué à Cannes dans le film La vie d’Adèle, Palme d’or 2013. Avec déjà une jolie filmographie à son actif, la jeune femme ne compte pas s’arrêter en si bon chemin. On la retrouvera notamment à l’affiche d’une énième adaptation du conte La Belle et la Bête de Christophe Grans (à qui l’on doit Crying freeman et Silent hill) et dont les premières images sont tombées en début de semaine. Une fresque épique et fantastique qui a cumulé les inconvénients de tournage pour un résultat qui semble féerique !

1720. Après le naufrage de ses navires, un marchand ruiné doit s’exiler à la campagne avec ses six enfants. Parmi eux se trouve Belle, la plus jeune de ses filles, joyeuse et pleine de grâce. Lors d’un éprouvant voyage, le Marchand découvre le domaine magique de la Bête qui le condamne à mort pour lui avoir volé une rose. Se sentant responsable du terrible sort qui s’abat sur sa famille, Belle décide de se sacrifier à la place de son père. Au château de la Bête, ce n’est pas la mort qui attend Belle, mais une vie étrange, où se mêlent les instants de féerie, d’allégresse et de mélancolie. Chaque soir, à l’heure du dîner, Belle et la Bête se retrouvent. Ils apprennent à se découvrir, à se dompter comme deux étrangers que tout oppose. Alors qu’elle doit repousser ses élans amoureux, Belle tente de percer les mystères de la Bête et de son domaine. Une fois la nuit tombée, des rêves lui révèlent par bribes le passé de la Bête. Une histoire tragique, qui lui apprend que cet être solitaire et féroce fut un jour un Prince majestueux. Armée de son courage, luttant contre tous les dangers, ouvrant son coeur, Belle va parvenir à libérer la Bête de sa malédiction. Et se faisant, découvrir le véritable amour. (Source AlloCiné)

« Dans ma version de La Belle et la Bête, contrairement à celle de Jean Cocteau, c’est Belle le personnage principal de l’histoire. Même la lumière du jour dépend de ses émotions : quand elle est radieuse, le soleil brille, quand elle est triste, le ciel s’obscurcit. Lorsque nous avons écrit le script avec Sandra Vo-Anh, il nous a paru évident que parmi les actrices françaises, Léa (Seydoux) devait jouer Belle. Je crois avoir vu tous ses films, mais celui qui m’a donné envie de tourner avec elle, c’estRobin des bois, de Ridley Scott. Je l’ai trouvée absolument lumineuse, une qualité stupéfiante chez elle qui a été confirmée par notre rencontre. Nous avons travaillé à mettre en valeur ce côté solaire et positif dans le film, qui est un conte de fées destiné à la famille. Il reposait à 90% sur ses épaules. »(Magazine Première)

La Belle et la Bête, de Christophe Gans.
Avec : Léa Seydoux (Belle), Vincent Cassel (la Bête)t, André Dussollier (le père de Belle), Sara Giraudeau et Audrey Lamy.
Sortie prévue : le 12 février 2014.