Salvador Dalí, peintre espagnol surréaliste (1904-1989) a 25 ans lorsqu’il rencontre Gala, l’épouse de son ami Paul Eluard. C’est une femme intelligente, plus charismatique que belle, magnétique, sûre d’elle et la maîtresse de Max Ernst (sous le regard passif d’Eluard).

Et c’est le coup de foudre, malgré ses 9 ans de plus, Gala quitte son mari pour le jeune Dali, vierge, inconnu et sans le sou. Elle deviendra son amante, sa muse et son agent avisé.

Il l’épousera au civil en 1932 mais attendra la mort de son ami Paul Eluard pour l’épouser religieusement…26 ans plus tard ! Dali, très catholique, jurera n’avoir fait l’amour qu’avec elle, la seule femme de sa vie, Gala sera moins fidèle… mais veillera jalousement à ce que le maître crée, encore et toujours. Passionné, tumultueux, exclusif, leur amour durera plus de 50 ans.

Paul Eluard la qualifiera de « Divine béquille » sans qui Dalí n’aurait rien été et Dalí dire d’elle : « Gala était la femme dont j’ai rêvé et que j’ai peinte avant même de la connaître « 

Sand…