Ciné feelings #6

[Critiques films] Ciné feelings #6

Critique ciné Rush
Mon coup de ♥
Rush (2013)

Soyons clairs : je DÉTESTE la Formule 1. Mais alors je ne peux pas comprendre l’intérêt de ces « zzzzzing zzzzouinnnnnn » pendant des heures, je préfèrerais compter les petits pois contenus dans un bocal, beaucoup plus intéressant, plutôt que regarder une course de Formule 1.
Ceci dit, j’ai ADORÉ Rush ! Vraiment !
Réalisé par Ron Howard (le Ritchie de Happy Days qui a fait Splash, Apollo 13, Da Vinci Code…), le film était déjà en pôle position ^^.
On tombe complètement dans cette histoire de rivalité/amitié, les scènes de course sont très dynamiques et très esthétiques, woufff on se sent tenir le volant !
Vraiment, faites moi confiance, si vous aussi vous détestez la F1, n’hésitez pas à regarder Rush !
Et pour celles qui aiment les potins, après le film, faites vous plaisir : allez voir les images d’archives (dans lesquelles vous croiserez Richard Burton), incroyable comme les ressemblances ont été travaillées. Bluffant
P.S : Je ne connaissais pas cette incroyable histoire, ce qui a sidéré/stupéfié l’Homme qui commence à avoir de sérieux doutes sur le fait que je ne vienne pas d’une autre planète (mince démasquée !)
Un excellent film, beau, intense, passionnant.

RUSH retrace le passionnant et haletant combat entre deux des plus grands rivaux que l’histoire de la Formule 1 ait jamais connus, celui de James Hunt et Niki Lauda concourant pour les illustres écuries McLaren et Ferrari. Issu de la haute bourgeoisie, charismatique et beau garçon, tout oppose le play-boy anglais James Hunt à Niki Lauda, son adversaire autrichien, réservé et méthodique. RUSH suit la vie frénétique de ces deux pilotes, sur les circuits et en dehors, et retrace la rivalité depuis leurs tout débuts.

critique ciné the immigrant

The immigrant (2013)

Une page d’histoire qui façonna l’Amérique : Ellis Island et les immigrants qui s’y bousculaient, à la recherche du bonheur, d’une nouvelle vie.
Un joli film de James Gray, qui dépeint le bruit et la fureur des cœurs humains de manière très (trop ?) intimiste. J’aurai aimé être happée par la violence de cette volonté de survivre qui tenaille Ewa, dommage…
Reste la performance de Joaquin Phoenix qui, comme à son habitude, crève l’écran.
Certains trouveront ce film poignant, d’autres, comme moi, un peu lisse.

1921. Ewa et sa sœur Magda quittent leur Pologne natale pour la terre promise, New York. Arrivées à Ellis Island, Magda, atteinte de tuberculose, est placée en quarantaine. Ewa, seule et désemparée, tombe dans les filets de Bruno, un souteneur sans scrupules. Pour sauver sa sœur, elle est prête à tous les sacrifices et se livre, résignée, à la prostitution. L’arrivée d’Orlando, illusionniste et cousin de Bruno, lui redonne confiance et l’espoir de jours meilleurs. Mais c’est sans compter sur la jalousie de Bruno…

 

critique ciné perfect sense

Perfect sense (2012)
Séduite par le merveilleux casting, Eva Green et Ewan McGregor, j’ai beaucoup « aimé » l’originalité de cette histoire qui vous serre subrepticement la gorge…
Sans artifices, ni effets spéciaux tapageurs, Perfect sense est sans doute le film d’anticipation le plus déprimant que j’ai jamais vu. Terrible, j’en ai encore des bouffées d’angoisse.
Bon film, à ne pas regarder en cas de petit moral…

Au milieu d’un monde frappé par une étrange épidémie qui détruit progressivement les cinq sens, un cuisinier et une brillante chercheuse tombent amoureux…

 

avis ciné green zone

Green zone (2010)

Le sujet, la recherche des armes de destruction massives imaginaires en Irak, était intéressant. Mais rapidement le film devient brouillon dans sa narration, mal réalisé… Scénario trop pauvre ? Je l’ai trouvé totalement inintéressant.
Qu’est-ce-que Matt Damon est venu faire dans cette galère ?
Beurk !

Pendant l’occupation américaine de Bagdad en 2003, l’adjudant-chef Roy Miller et ses hommes ont pour mission de trouver des armes de destruction massive censées être stockées dans le désert iraquien. Ballotés d’un site piégé à un autre, les militaires découvrent rapidement une importante machination qui modifie le but de leur mission. Pris en filature par des agents, Miller doit chercher des réponses qui pourront soit éradiquer un régime véreux soit intensifier une guerre dans une région instable. En peu de temps et dans cette zone explosive, il découvrira que la vérité est l’arme la plus insaisissable de toute. L’histoire tourne autour des agissements américains en Irak et de la façon dont le gouvernement provisoire, organisé par l’administration Bush, s’est constitué d’amis loyaux du Président plutôt que de personnalités efficaces et capables. Pourquoi n’avoir placé personne, à la tête du gouvernement irakien, qui sache parler arabe ? Pourquoi n’avoir pas engagé des spécialistes de la reconstruction sociale d’après-guerre ?

Grâce à elle, l'industrie du cinéma ne connait pas la crise !

3 COMMENTAIRES

    • Attention c’est original spécial, enfin c’est un ressenti perso… Si un jour tu le vois je serai curieuse d’avoir ton retour 😀