Le vitalisme : premier concept de la naturopathie

La naturopathie se concentre sur la prévention des maladies et utilise si besoin, des thérapies naturelles et non toxiques.

La médecine moderne est capable de régler de façon optimale des situations qui hier représentaient des cas désespérés (greffes d’organes, chirurgie réparatrice…).

Notre corps, nos organes, nos cellules sont en relation avec une « force », une « énergie » qui organise, régule, répare nos fonctions organiques, il s’agit de la force vitale le « Chi » des chinois, le « Ki » des japonais, notre médecin intérieur qu’il faut solliciter avant toute autre thérapeutique.
Cette force vitale il faut la considérer, l’aimer, la préserver.

Un os brisé se ressoude de lui-même, une plaie se referme, les tissus cicatrisent naturellement, une diarrhée nous épargne une intoxication qui pourrait être fatale, une fièvre détruit les germes infectieux…tous ces phénomènes sont stimulés par les capacités d’auto-guérison du corps.

Prendre en compte cette force de vie change tout dans une approche médicale ou dans des propositions de prévention. Nous avons tous une réserve initiale en force vitale liée à notre héritage. Elle s’épuise peu à peu avec l’âge.

Des facteurs font barrage aux flots de la vie et usent progressivement notre énergie vitale :
– une alimentation dévitalisée, (produits raffinés industriellement, alimentation trop cuite)
– les toxiques (café, tabac, drogues, sucre, graisses animales, l’alcool , abus de médicaments …)
– les différents surmenages,
– la sédentarité,
– l’isolement psychoaffectif
– les pollutions chimiques (produits ménagers, aluminium dans certains produits de beauté)
– les pollutions électromagnétiques (téléphone mobile, wifi)

D’autres facteurs vitalogènes concourent à la recharge de cette énergie et stimule nos capacités d’auto-guérison du corps:

- une meilleure alimentation : cru, germé…

– une meilleure oxygénation : pratique de la respiration volontaire en pleine conscience

– un bon sommeil : ne plus pratiquer d’activité physique (sport) à partir de 18 heures et baisser progressivement son activité pour conditionner un bon sommeil

– une bonne gestion du stress : ce qui perturbe les hommes ce ne sont pas les choses, mais ce qu’ils pensent des choses. Si l’on regarde sa vie avec du recul 95% des soucis perdent de leur gravité

– la pratique d’exercices physiques : activités physique et sportives en extérieur, en contact avec la nature

– une hygiène intestinale : les protéines en excès, ou les glucides en excès engendrent des perturbations du transit, choisir des aliments mieux adaptés à nos capacités digestives et moins producteurs de déchets, les protéines végétales seront préférées aux animales

– un bon drainage : une bonne mastication, une consommation de fruits et de légumes frais et crus, une alimentation frugale, un apport hydrique suffisant (eau !!!) , de l’exercice, jouent un rôle indéniable dans le processus et permettent aux tissus de se libérer des toxines

Jean-Claude…